SUR LE CINÉMA

Les triptyques sont ce que je préfère faire, et je pense que c’est lié à l’idée que j’ai toujours eue de faire un film.

Vous savez, je me suis souvent dit que j’aurais aimé être metteur en scène, si je n’avais pas été peintre.

À l’époque du muet, l’image avait une très grande force. Les images du muet étaient parfois très puissantes, très belles.

J’ai certainement été, quand j’étais bien plus jeune, influencé par les films d’Eisenstein, et ensuite, j’ai été très influencé également par les films de Buñuel […] Je ne peux pas dire comment ils m’ont directement affecté, mais ils ont certainement influencé mon attitude globale à l’égard des choses visuelles…